La bonne chair masculine…

Et ping! coup de génie… j’ai sauté du canapé, je suis allé dans ma chambre et récupérai un ensemble de short/t-shirt que j’ai donné à “n’importe qui” et murmurai: ‘’Donne-moi 5 minutes et je reviens”, en faisant les yeux doux…
De nouveau tout nu, mon habit préféré, j’ai lubrifié ma chatte (cunt) et remis ma lingerie. Ensuite j’ai enfilé des bas auto-fixant avant de me glisser dans une robe enveloppe POURPRE qui couvrait la moitié de mes cuisses dodues de mature. Perché sur des talons mexicains, je m’appréciais beaucoup avec l’ouverture irrégulière au-devant de ma robe. J’ai extrait ma longue perruque de sa boîte et la brossai comme il faut avant de la placer sur mon crâne chauve. Elle couvrait mes épaules pour se déverser sur mon maigre décolleté de poitrine d’ado. J’ai commencé un maquillage; paupières pourpre, un peu de contour noir mais aussi du mascara aux cils. Pas de fond de teint mais du pourpre très pâle sur mes lèvres. De grands anneaux qui pendaient de mes oreilles complétaient mon look sexy!, je m’aime, LOL. –Aveux: Me voir dans le miroir me fait bander. Je dois avouer que parfois quand j’ai la flemme de jouer avec moi-même, je regarde les vidéos de mes séances solo pour me satisfaire--.
Je sortis de la chambre sous les regards hébétés de “n’importe qui” qui a lancé un grand “wow”. J’ai défilé devant lui avec quelques allers-retours. Le lub suintait de ma chatte, alors j’ai plongé mes deux mains entre mes jambes et commençait à frotter contre mes couilles et mon trou brûlants. Puis j’ai attrapé mes nichons par-dessus ma robe. Mes tétons étaient érigés. Les bonnets de mon soutif se frottaient contre eux les rendant encore plus sensibles. Ils avaient besoin d’être sucés, mordus, léchés, pincés...
“N’importe qui” se leva brusquement et s’avança vers moi pour m’attraper par la taille… j’ai glissé sur mes talons et je me suis effondré dans ses bras mon museau dans son cou en sueur; il sentait viril mon gitan. Il était plus petit que moi mais il a réussi à me retenir en me soulevant par les aisselles. Il m’a serré fort, je fondais dans ces bras. J’ai attrapé son zob mais il m’a repoussé; “c’est mon tour de te faire l’amour” chuchota-t-il à mon oreille… finis les règles hippocampus… vive la baise avec un ours. ‘’Il ne faut jamais dire jamais” pensais-je lui laissant le contrôle de notre rut.