La bonne chair masculine…

Je me suis complétement déshabillé. Et la première chose a été de lubrifier mes profondeurs en flamme; puis j’ai enfilé un string avec un petit triangle et j’ai mis un soutif en dentelle; tous étaient de couleur pourpre bien sûr. Mes jambes et mes pieds vernis étaient nus. Tout ça dans un peignoir en soie à la hauteur de mes genoux.
Les sept pas que j’ai fait vers le comptoir de la cuisine m’a donné suffisamment d’indices à propos de son passé homo: vu comme il me regardait (assoiffé maintenant) il devrait l'avoir déjà fait comme tout bon paysan de chez moi... mais surement pas avec un tranny-chose.
Mes mains sur mes hanches j’ai commencé à lui dicter mes lois: * pas touche * pas d’embrassade * c'est moi qui gouverne * j'ai envie de ta verge * quand je dis c'est fini on finit... il était docile… contrairement à son érectile qui se faisait déjà remarquer sous le pyjama ample. Il hocha la tête pour acquiescer.
Je me suis agenouillé devant le canapé, j'ai baissé le pantalon et sa culotte à ses chevilles, libérant son épais champignon brun foncé déjà en garde-à-vous. J’ai bien écarté ses jambes pour me placer entre… les poils de ses épais mollets chatouillaient mes aisselles.
Immobile sur le canapé, le macho mal rasé me suivait avec de grands yeux, curieux. J’ai mis mes mains sur ses genoux et commencé à pétrir l’intérieur de ses cuisses en montant vers son aine; il a sursauté et poussa un cri animal venant de la gorge. J’ai continué le massage pendant un moment ; sa bite gonflait à vue d’œil… Puis, j’ai pris sa bite dans mes mains la serrant dans mes paumes, elle redressa aussitôt; elle était au point. J’ai avancé ma bouche… Les poils pubiens frisés de mon baiseur me dérangeaient un peu mais pas au point de me faire renoncer à ma tâche. Alors, j’ai alors attrapé la tige du bout de mes lèvres et slurpé le gland. L’odeur femelle de mon gel de douche et le cadrage viril de la bite étaient contradictoires… Ma salive avait augmentait et l’occupant de ma bouche s’y baignait. Il gémissait chaque fois qu’il pénétrait ma bouche et il ne m’a pas fallu longtemps pour une gorge profonde. Ma salive coulait vers ses couilles alors que je massais d’une main son scrotum, le majeur sur son anneau. J’ai lui caressais le bas-ventre aussi, remontant ma main vers son nombril où j’ai découvert que les poils ne me dérangeaient pas spécialement, c’était même agréable.