La bonne chair masculine…

Il n’avait toujours pas bougé. Sa tête en arrière, les yeux fermés, il attendait docilement la suite. J’ai déboutonné le haut du pyjama, mis les deux mains sur son corps et commençai un massage vers ses mamelons dressés. Son zob tremblait davantage, je voulais que ça dure… j’ai éloigné ma bouche de son érection et dragué mes lèvres vers ses mamelons. Je les ventousait l’un après l’autre. Ils étaient aussi bruns que son pénis de gitan. Toujours en position assis il commença à tortiller ses hanches comme une danseuse de banquets.
Avec mes lèvres je suis redescendu et enfoncé sa verge profond dans ma gorge; j’ai dû me retirer dès que j’ai léché une goutte de son pré-cum… Son corps était rigide comme son pénis et ses bras paralysés à ses côtés. Je me suis levé, mon peignoir glissa à mes pieds et mes deux pouces ont abaissé mon string vers mes genoux. J’avais libéré ma clit coincée jusqu’alors contre mon aine. J’ai aussi ôté mon soutif… mes nichons que je masse régulièrement depuis que je ne suis plus vierge, ressemblaient vraiment à ceux d’une ado de 17 ans en fièvre. Mes mamelons avaient enflés mais l’essentiel était de me faire sodomiser. Je lui ai tourné le dos et je me suis accroupi lentement devant le canapé vers son champignon que j’ai ajusté d’une main pour qu’il épouse ma cave. La tête était dans moi, puis lentement je me suis assis dessus jusqu’à ce que mes fesses touchent les couilles de mon baiseur. Il hennissait comme un jeune étalon noir. Le forage était facile grâce au lubrifiant, je n’éprouvais aucune peine et le feu se répandait dans moi. Cette fois-ci l’explosion était proche, je le sentais… Je me suis levé et une fois de plus sur mes genoux j’ai saisi mon nouveau foreur des deux mains en le caressant de haut en bas. Il était presque noir et ses pulsions augmentaient. Après un dernier massage violent, je l’ai tenu entre deux doigts pour assurer qu’il soit érigé vers le ciel… Et là, entre gémissements et hululements, le puits a commencé à cracher son contenu.