Bourses au supermarché

Le coquin soulagé s'empressa d'essuyer sa queue sur ma langue et d'étaler à la main tout ce qui ruisselait sur mon visage avant de s’éclipser dans la cabine contigüe pour se remettre tranquillement de ses émotions.
Yves pendant ce temps n'avait pas ménagé ses efforts et mon anus dilaté à l’extrême engloutissait sans broncher son sexe au firmament de son érection. Ma prostate se contentait d'une touche rapide à chaque aller, attendant avec régularité le prochain coup. Je poussais sèchement mes reins vers Yves qui déséquilibré abandonnait mes fesses pour se retrouver assis sur la banquette de la cabine. Je profitais de cet avantage pour venir m asseoir sur sa queue et m'empaler à fond dessus. Mon trou agrandi par l'assaillant n'eut aucun mal à s'installer confortablement. Je sentais son membre au plus profond de moi et je décidais cette fois ci de me branler dans cette position. J'en avais trop envie et plus question d'attendre.

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Je saisissais mon clito entre deux doigts en exerçant une petite pression dans un mouvement de va et vient modéré. la peau de mon prépuce allait et venait sur mon gland qui se décalottait merveilleusement. J'entrais en transe et mes quelques cris étouffés rendirent curieux le voisin de cabine qui n'avait pas encore déserté les lieux. Il profita de notre amabilité pour revenir se servir.

Agenouillé devant moi, tout en se branlant à nouveau, il tendait la langue sur mon clito rouge d 'excitation. Mon bassin remuait sans cesse sur la verge d'Yves qui ne cachait pas son émoi. Ses deux mains avaient pris possession de mes tétons et je pouvais me laisser transporter. L'une d'elles vint bousculer la mienne pour prendre sa place. Il avait regardé comment je me branlais et son geste imitait parfaitement mon mouvement. Je sentis que sa verge donnait des signaux de lâcher prise, comme si mon anus avait parfaitement épousé sa forme et pouvait déceler la moindre veine qui se gonflait.