Bourses au supermarché

Ce mouvement décuplait mon envie de lui et je me retenais pour ne pas lui crier "prends moi !!!". Je me mordais les lèvres de plaisir savourant chaque mouvement comme un coït du meilleur effet. J'avais les bourses aussi dures que mon clito, ma sève s'accumulant un peu plus à chaque mouvement qu'Yves me prodiguait. Je gémissais en sourdine afin de me pas interrompre l'explication d'une recette culinaire entre mes deux voisines. Si elles savaient ce que j en pensais....peut être se joindraient elles à nous pour l'essayage.
Excités comme des puces sur un nouvelle chienne, nous nous rhabillâmes rapidement et quittèrent la cabine en jetant un regard à nos bavardes qui restèrent interloquées. J'en profitais pour leur adresser un sourire ravageur qui résumait mes états d'hommes. Yves et moi-même n'en étions qu'à l'apéro et les cacahuètes qu'il avait dressé devant mes yeux ne demandaient qu'à être consommées, mes senteurs corporelles exacerbées par les actes manqués pimentant ce cocktail.
Dans le rayon laitage je prenais une bombe de chantilly que je secouais vivement avant de presser le bouton. L'embout glissé entre mes lèvres je quelques larmes de la précieuse crème s'échappèrent alors que je regardais Yves avec un sourire coquin. Ma langue rattrapais in extrémis les gouttes fugueuses qui, dans mon imaginaire, avaient le parfum d'un autre lait fouetté.
Cette bombe de chantilly était à retardement. Elle avait soufflé sur le feu qui couvait en moi depuis l'épisode très récent de la cabine. Je pris la main de mon mec et l'entraînait dans le rayon bas et collants pour prendre une paire de bas chair que j'ouvrais rapidement pour en extraire son contenu.

Devant les pantalons sur leurs cintres j'en décrochais un pour justifier un retour en cabine. Je filais vers celle du fond orientée différemment. Elle avait attiré mon attention parce qu'elle permettait de pencher la tête au dehors sans qu'un vis à vis ne puisse entrevoir ce qui se passait dedans.
Je ne laissais pas le temps à Yves de décider et lui défaisais la ceinture énergiquement. Les boutons sautèrent à nouveau un à un et je tirais sur les jambes du pantalon pour le faire glisser aux pieds.