Bourses au supermarché

Ma bombe de chantilly à proximité je la saisis et en répandis une belle couche sur le sexe dressé comme un champignon d'automne. Le gland recouvert d'un voile blanchâtre ne demandait qu'à accueillir la convive que j'étais. Je me mis à table avec l'appétit d'un cycliste pris d'une fringale soudaine. Je suçais ce bâton avec l'enthousiasme d'une débutante, feignant de découvrir un sexe que je connaissais par coeur. Je savais qu'en ouvrant la bouche bien grande et en allant la refermer vivement à mi longueur mon amant allait avoir des soubresauts de plaisir. Une décharge électrique le traversait à chaque fois que j'agissais ainsi et je ne me privais pas d'en user et d'en abuser.

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Après une longue fellation dans les règles de l'art et maitrise du sujet, je le fis se retourner et lui administrais une feuille de rose en jouant délicieusement avec son oeillet. Appréciant la caresse il cambra ses reins pour mieux se laisser visiter par ma langue. Quelques minutes de cette divine caresse réservée au Prince je décidais de jouer un peu la provoque. Mon tempérament un brin exhibitionniste ne pouvait s'empêcher de me pousser à la limite de la faute.

Je jetais un rapide coup d'œil en écartant le rideau. Un homme s'avançait pour essayer un jean qu'il tenait à la main. Un sourire, une oeillade appuyée, il regarda plus sérieusement dans ma direction. Mon amant avait avancé son sexe entre les pans du rideau. Ma main gauche le branlait déjà tandis que je continuais à fixer le visiteur droit dans les yeux.

Lorsqu'il arriva à ma hauteur je pu constater qu'il n'était pas resté insensible à ma provocation. Une bosse meublait une bonne partie de son jean taille basse. Je lui proposais de laisser pendre son jean qu'il voulait essayer de façon à cacher son bassin de la vue de tout visiteur impromptu. Il laissa pendre le vêtement comme s'il attendait quelqu'un dans notre cabine.