Bourses au supermarché

Mon string à fines dentelles prenait l'air en même temps que mon intimité dans la plus grande discrétion et avec un naturel à faire pâlir les eaux minérales. La dame un peu plus gênée que moi toussota un brin et attrapa le bras de son mari qui s'en venait quérir des informations et proposer son aide: "Viens ça sent la marée ici lui dit-elle". Ne vous inquiétez pas lui répondis je, la moule est fraîche du matin". Son homme en profita pour jeter un oeil pervers sur mes fesses qui se couvraient à nouveau. Il les compara machinalement avec celles de sa femme et sa mou dubitative ne laissa aucun doute sur les regrets qui allaient le hanter quelques heures.
Je poursuivais mes achats et me penchait au dessus du rayon viande pour attraper un rôti de dinde (il n'y a pas qu'une dinde dans mon entourage). Je senti qu'un individu se frottait sur moi à me faire presque basculer dans le frigo. C'était Yves mon amant qui s'amusait à me montrer que le gingembre dégusté au petit déjeuner diffusait les effets escomptés. Une barre de 17 bien raide s'appuyait bien entre mes fesses et à travers le tissu je n avais aucun doute qu'elle perlait déjà d'excitation. Je me retournais en laissant une de mes mains balader afin de palper le degré de fermeté de l'organe. A côté la matraque d'un crs pâlirait de jalousie. A croire même qu'elle avait servi de modèle pour le moule de fabrication. J'apposais un doux baiser sur les lèvres d'Yves pour le remercier de son furtif témoignage d'affection.
Au rayon lingerie le folklore devint plus palpable. Je prenais des strings en main pour les admirer malgré la présence de quelques dames qui feignaient de ne pas me voir. Je tenais pourtant à leur ouvrir les yeux. Les dessous ne sont pas fait pour rester en rayon mais pour être portés. Bon d'accord si Damido se met à porter des string à ficelle on risque la plainte des défenseurs du bien être des ficelles.