De la pucelle quinquagénaire à la mature disponible...

***Prologue - Confessions: Depuis que j’ai offert ma virginité, je me mets chaque jour un peu plus dans la peau d’une femme. Le petit bled où je vis m’interdit de m’exhiber socialement. Totefois je me suis faite une complice, mon épileuse qui me reçoit après la fermeture . Depuis mon nouveau début, la masturbation mâle ne me suffit pas; il me faut désormais jouir aussi jouir par ma chatte. Depuis que j’ai goûté à la bonne chère et à la bonne chaire je me perfectionne: le nombre de mes d’explosions solo “hands free” a considérablement augmenté. Rares sont les nuits que je dors sans me sodomiser avec, généralement, un gadget. J’ai compris que les deux jouissances allaient de paire. L’une sera triste sans l’autre***
Le jour de l’an était une belle occasion pour satisfaire notre grand soif. Jusqu’à nouvel ordre j’appartenais à Selmi, ma féé conquérante. Depuis la dernière fois je m’étais consacrée à me perfectionner en SHE; me mettre du rouge à lèvres, du vernis à ongles mais mais mais aussi m’habiller comme il faut, des pieds aux cheveux.
Je me suis levée de bonne heure ce dernier jour de l’année. Pris une douche et préparai cosmétiquement mon corps: déjà épilée, mais crème hydratante et le vernis pourpre aux pieds; j’allais compléter le reste chez Selmi pour des raisons “sociales!!!” lors de mon trajet de 300 km pour la rejoindre.
Splendide comme d’habitude, elle m’a ouvert la porte et me sauta au cou. Réveillée de six semaines de jeûne, mais il ne fallait pas se précipiter comme une fille malpolie qui plonge dans un bocal à bonbon. Nous nous embrassées comme deux amants.
-Tu veux t’installer dans une autre chambre ou…??? Elle me surprenait encore une fois avec son élégance… - Si j’avais envie de dormir toute seule, je ne serais pas venue… ai-je répondu. Je me suis installée dans la sienne avec ma petite valise de mademoiselle-pétasse d’où je sortis mes cosmétiques. Assis sur le lit, je voulais me mettre du vernis aux doigts, mais elle me serra par derrière et commença à sucer mon oreille... J’ai tout abandonné…