De la pucelle quinquagénaire à la mature disponible...

Ma clit avait déjà sorti la tête de mon string, pourpre bien sûr. Elle m’allongea sur le dos et l’absorba avec des va-et-vient. Quand elle a aperçu mes orteils, déjà vernis, elle leva la tête, et entre ses dents: “petite salope!, c’est bien! tu as appri de bonnes manières” dit-elle en se précipitant sur eux qu’elle suça longuement. Mes orteils vernis m’excitaient moi aussi. Je commençais à bander. J’ai commencé à l’écher cette peau de velours qui m’avait tant manquée. Puis elle réabsorba ma clit et quelques minutes me suffirent pour exploser dans sa petite bouche… Selmi avala tout mon lait puis se redressa: “il fallait te vidanger pour l’essentiel” murmura-t-elle.
Je commençais déjà à tortiller des fesses, et en bonne connaisseuse --puisque c’est elle qui m’a conçue-- elle enfonça son majeur dans mon trou brûlant. Nous étions en 69, je la suçais comme une folle. Son gland gonflait dans ma bouche à chaque pénétration. Elle baisait mes joues, j’en bavais, puis elle enfonçait sa bite au plus profond… j’attendais impatiemment son jus; puis elle la retira brusquement … s’est mise sur les genoux en se plaçant entre mes jambes en l’air et enfonça sa tige dans ma caverne… J’étais au septième ciel et elle, était ma fée. J’ignore combien a duré le va et vient; les lèvres de ma chatte se contractaient telle la bouche d’une pieuvre voulant avaler sa proie. Sa verge agréablement chaude me martelait, et le grand miroir mural reflétait une prostituée Milf (moi): les jambes largement écartées pour satisfaire sa baiseuse en extase. Une lave a alors envahi ma trompe et le marteau-piqueur n’avait même pas ralenti. Selmi voulait répéter son rituel: deux explosions successives pour inonder ma galerie. J’ai alors haussé mes fesses… elle continua sa locomotion en furie… Le deuxième feu d’artifice n’était pas de la lave, cette-fois-ci le volcan crachait le noyau même de la Terre… Le sorbet de Selmi suintait de ma chatte, je ne pouvais pas bouger. Du bout de sa langue elle a pris un peu de sa sécrétion et me la posa dans ma bouche. Hmm! Quel goût délicieux, ça faisait longtemps… on s’est longuement embrassé… à mon tour je l’ai allongé sur le dos et ventousé sa queue pour la nettoyer… non! pour me régaler… un vrai festin de fin de banquet. Nous étions toutes les deux épuisées. Besoin de récupérer, nous nous sommes assoupies en koala.