Eloge du dépucelage sans frontière

Nous avons grignoté autour d'un verre de bière peut-être deux. J'étais un peu grisée par l'alcool, je ne tiens pas même à petites doses. Alors elle me faisait rire mais rire à m'en éclater la panse elle jouait avec son français approximatif en inversant les mots. Comme j'étais bonne cliente elle en rajoutait. Plus le temps passait plus nos corps se rapprochaient sur le canapé, nous avons caressé nos bites au repos l'une contre l'autre. Je lui ai avoué que j'étais épuisée, elle a mis une musique douce et je me suis endormie contre son corps qui m'a tant fait rêver.

On a ouvert les yeux dans le noir, la nuit était bien entamée. Elle m'avoue avoir passée ses doigts sur moi dans tous les espaces accessibles jusqu'à s'endormir également.

Elle s'est levée en s'étirant et prit la direction des toilettes. Je lui ai emboîté le pas, et lorsqu'elle a baissé sa culotte positionnée derrière elle j'ai mis ma main sur son joli ventre. Elle a commencé à pisser alors tout doucement j'ai descendu mes doigts vers son sexe, je suis arrivée dessus il coulait encore alors j'ai pris le contrôle de sa miction avec la pression de mes doigts en l'arrêtant et la faisant repartir. Ce qui est bien avec la bière c'est que cela fait pisser et fait durer le plaisir. Inutile de faire un dessin pour voir qu'elle a adoré mon initiative. J'ai uriné à mon tour devant elle avec le simple plaisir qu'elle me regarde amoureusement.

Ensuite elle m'a proposé de finir la nuit dans la chambre, Je vous épargne les détails d’une petite toilette de précautions. Nous sommes passée dans la chambre.

On a beau être des pucelles on connaît le mode d'emploi par cœur. Nous avons sorti le lubrifiant et l'appliquons par des caresses qui nous remettent en forme. Ses couilles plusieurs heures après la douche dégagent un parfum musqué qui a un effet fulgurant sur mon sexe qui reprend de la hauteur.

Je demande à ma belle de la pénétrer la première. A 57 ans maintenant je préfère profiter d'une érection là et solide.